La Lune : Sur les traces de Lunakhod 2
Une formation remarquable : Posidonius
La formation la plus remarquable de cette région est Posidonius , un vieux cratère de 95 km de diamètre dont le versant nord porte un trio de craterlets. Observez sa muraille particulièrement riche : à l’ouest, elle atteint sa plus grande hauteur avec 1 800 m et se dédouble en une crête montagneuse qui s’incurve en spirale vers le centre. À l’est, elle plonge progressivement dans la lave de la mer de la Sérénité . Le fond de Posidonius, relativement plat, montre de nombreux craterlets, dont Posidonius A de 10 km, presque au centre, ainsi que de nombreuses collines qui s’interposent entre les rainures de Posidonius . Celles-ci présentent un intérêt majeur, car deux d’entre elles se coupent à angle droit au sud- est et une troisième longe la muraille à l’ouest.
Un Posidonius en réduction : Chacornac
Chacornac est presque un Posidonius en réduction. Avec 51 km de diamètre, on retrouve les éléments du précédent : une muraille délabrée de 1 450 m de hauteur, un craterlet central, Chacornac A, de 5 km, et la rainure de Chacornac qui perfore la paroi au sud-ouest. Le fond porte de nombreuses ondulations.
Le Monnier, en partie submergé
Le Monnier fut sans doute autrefois un magnifique cratère à gradins avant d’être en partie submergé par la lave qui donna naissance à la mer de la Sérénité . Sa muraille de 61 km de diamètre atteint 2 400 m d’altitude à l’est et n’apparaît plus que sous la forme d’une légère ondulation à l’ouest.
Enfin, continuez cette balade en essayant de trouver la remarquable rainure de G. Bond de 15 km de long, à l’est de Posidonius, et la rainure de Daniell à l’ouest. Notez également que la région qui s’étend à l’est et au nord de Posidonius s’appelle le lac du Sommeil . Terminez avec le couple Plana et Mason aux diamètres comparables mais qui présentent, dans leur arène, l’un, une montagne centrale, et l’autre, un craterlet sur fond de lave solidifiée
La formation la plus remarquable de cette région est Posidonius , un vieux cratère de 95 km de diamètre dont le versant nord porte un trio de craterlets. Observez sa muraille particulièrement riche : à l’ouest, elle atteint sa plus grande hauteur avec 1 800 m et se dédouble en une crête montagneuse qui s’incurve en spirale vers le centre. À l’est, elle plonge progressivement dans la lave de la mer de la Sérénité . Le fond de Posidonius, relativement plat, montre de nombreux craterlets, dont Posidonius A de 10 km, presque au centre, ainsi que de nombreuses collines qui s’interposent entre les rainures de Posidonius . Celles-ci présentent un intérêt majeur, car deux d’entre elles se coupent à angle droit au sud- est et une troisième longe la muraille à l’ouest.
Un Posidonius en réduction : Chacornac
Chacornac est presque un Posidonius en réduction. Avec 51 km de diamètre, on retrouve les éléments du précédent : une muraille délabrée de 1 450 m de hauteur, un craterlet central, Chacornac A, de 5 km, et la rainure de Chacornac qui perfore la paroi au sud-ouest. Le fond porte de nombreuses ondulations.
Le Monnier, en partie submergé
Le Monnier fut sans doute autrefois un magnifique cratère à gradins avant d’être en partie submergé par la lave qui donna naissance à la mer de la Sérénité . Sa muraille de 61 km de diamètre atteint 2 400 m d’altitude à l’est et n’apparaît plus que sous la forme d’une légère ondulation à l’ouest.
Enfin, continuez cette balade en essayant de trouver la remarquable rainure de G. Bond de 15 km de long, à l’est de Posidonius, et la rainure de Daniell à l’ouest. Notez également que la région qui s’étend à l’est et au nord de Posidonius s’appelle le lac du Sommeil . Terminez avec le couple Plana et Mason aux diamètres comparables mais qui présentent, dans leur arène, l’un, une montagne centrale, et l’autre, un craterlet sur fond de lave solidifiée